Zyban
1.07
Avantages
- Facile à utiliser
- Action rapide
- Economies
Inconvénients
- Nausée
- Vomir
ANSM - Mis à jour le : 10/02/2023
Dénomination du médicament
BZIPRO (ZYBAN) LP (voie orale)
Chlorhydrate de bupropion
Encadré
Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.
· Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.
· Si vous avez d'autres questions, interrogez votre médecin ou votre pharmacien.
· Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d'autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
· Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s'applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
Que contient cette notice?
1. Qu'est-ce que BZIPRO (ZYBAN) LP (voie orale) et dans quels cas est-il utilisé?
2. Quelles sont les informations à connaître avant d'utiliser BZIPRO (ZYBAN) LP (voie orale)?
3. Comment utiliser BZIPRO (ZYBAN) LP (voie orale)?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels?
5. Comment conserver BZIPRO (ZYBAN) LP (voie orale)?
6. Contenu de l'emballage et autres informations.
Classe pharmacothérapeutique - code ATC : N06DA02
BZIPRO (ZYBAN) LP (voie orale) est un traitement destiné à traiter le trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Il s'agit d'un traitement pour adulte et pour les enfants de plus de 6 ans.
Il est utilisé dans le traitement de :
· la dépression bipolaire,
· la dépression bipolaire avec hyperactivité,
· la dépression de type Ia avec hyperactivité,
· la dépression de type II avec hyperactivité.
BZIPRO (ZYBAN) LP (voie orale) est utilisé pour la dépression bipolaire chez les adultes et les enfants de plus de 6 ans.
Votre médecin peut ajuster la posologie si nécessaire. Vous devez effectuer un bilan complet afin de vérifier si BZIPRO (ZYBAN) LP (voie orale) est approprié pour vous.
Comme les autres antidépresseurs, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) estime que l’approbation de la commercialisation des produits pharmaceutiques s’est rendue nécessaire pour d’autres indications, comme la prise de certains médicaments, des médicaments d’hypertension artérielle ou des médicaments contre le diabète.
A l’origine, le bupropion (Zyban) est un médicament de référence aux autres antidépresseurs.
D’après le rapport du Conseil de l’ordre de 2012, le principe actif de l’antidépresseur Zyban, d’autres médicaments contenant du paracétamol, du tramadol, du diphénhydramine ou encore d’autres composés de ces médicaments, agissant sur le système nerveux central et des récepteurs sérotoninergiques.
Les effets sont notamment liés aux effets secondaires du paracétamol (en raison de la survenue de symptômes d’insomnie, de dépression et de troubles de l’érection) et aux effets secondaires des médicaments d’hypertension artérielle (surtout l’hypertension artérielle pulmonaire).
En outre, le bupropion (Zyban) a une autre indication, à condition que le principe actif soit déjà commercialisé et que les effets sont respectés.
A l’origine, les médicaments contenant du paracétamol (comprimés) sont aussi connus comme le bupropion.
L’Afssaps déconseille la commercialisation des médicaments contenant du paracétamol, du tramadol, du diphénhydramine et autres composés de ces médicaments, car elles pourraient avoir des effets indésirables.
Les auteurs de cet article publié le 22 octobre 2012 déclarent l’arrêt de la commercialisation de la commercialisation de ces médicaments, mais aussi la modification des indications et le renouvellement des données disponibles sur l’efficacité et la sécurité.
Avantages de la commercialisation des médicaments contenant du paracétamol
Une autre avancée concernant les indications des médicaments contenant du paracétamol, comme l’amiodarone, des antidépresseurs, la buspirone ou encore la paroxétine, est liée à l’arrêt de la commercialisation du bupropion, en raison de son caractère délétère.
En France, l’approbation du bupropion (Zyban) pour un médicament anti-obésité (paroxétine) se fera par la Commission de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).
En outre, l’Afssaps précise que la commercialisation du bupropion est nécessaire pour les indications de ce principe actif. En effet, les médicaments contenant du paracétamol sont contre-indiqués chez les patients présentant une pathologie cardiaque (par exemple, l’insuffisance cardiaque congestive, l’hypertension artérielle) ou présentant des antécédents d’allergie au paracétamol, de diabète sucré ou de démence.
Au cours du sud de l’Ecole des Sciences de la Défense des Laboratoires de l’Agriculture, les experts ont découvert que la nicotine est la principale substance psychoactif de notre corps. D’après les études récentes, cela pourrait être de même que les dérivés de la nicotine, qui sont les mêmes que le Zyban, qui est un médicament de la famille des Champix. Cette substance est aujourd’hui utilisée pour traiter les dépendances aux poils de l’adulte. Cette substance n’est donc pas à l’étude, mais à une autre étude. L’étude a porté sur des patients qui se sont inscrits dans un établissement de santé, dont les effets sont très limités.
Les participants à l’étude ont reçu 1 000 cigarettes par jour, ce qui représente un total de 6,5 millions d’euros. Le sud de l’Ecole des Sciences de la Défense des Laboratoires de l’Agriculture est une nouvelle étude qui a été réalisée par un consortium d’experts, qui ont découvert que la nicotine est la principale substance psychoactif de notre corps. La nicotine est aussi un médicament psychoactif de la famille des Champix. Cette substance est utilisée pour traiter les dépendances aux poils de l’adulte, l’impuissance, le stress et le manque de désir. Cette substance est aussi utilisée pour traiter les dépendances aux poils de l’adulte et l’impuissance.
Dans quel étude?
L’étude se base sur un registre de département de l’école des sciences de la Défense des Laboratoires de l’Agriculture et des Laboratoires de l’Agriculture-Laboratoire et sur une équipe de chercheurs. L’étude est menée en collaboration avec des chercheurs du laboratoire à l’Université du Wisconsin dans le but d’étudier les différents essais et les données de l’étude sur les effets de la nicotine sur l’utilisation des produits de santé de l’adulte. Les participants ont participé à la recherche sur des médicaments à base de nicotine pour la dépendance à l’alcool, et des médicaments de substitution pour la dépendance à l’alcool. La recherche a révélé que la nicotine n’était pas une substance psychoactif de la famille des Champix. Il est donc important de réaliser une recherche approfondie pour évaluer l’efficacité et la tolérabilité de ces produits de nicotine sur les dépendances à l’alcool.
Cette étude se base sur un registre de département de l’école des sciences de la Défense des Laboratoires de l’Agriculture et des Laboratoires de l’Agriculture-Laboratoire et sur une équipe de chercheurs. L’étude est menée en collaboration avec des chercheurs du laboratoire à l’Université du Wisconsin dans le but d’étudier les différents essais et les données de l’étude sur les effets de la nicotine sur l’utilisation des produits de santé de l’adulte. Les participants ont participé à la recherche sur des médicaments à base de nicotine pour la dépendance à l’alcool, et des médicaments de substitution pour la dépendance à l’alcool. La recherche a révélé que la nicotine n’était pas une substance psychoactif de la famille des Champix.
Santé Canada, qui a annoncé le 1er décembre de l’annonce du retrait du Zyban, a précisé : « Le nombre d’années passant de 12 à 21 par rapport à 2017 était un peu inférieur à celui que nous avons arrêté pour ne pas avoir réussi à se déformer ».
Le Zyban, un médicament antidépresseur utilisé dans le traitement de la dépression, est aujourd’hui vendu sous différentes marques. C’est le principe de ce médicament qui a été retiré du marché. « Le nombre de personnes arrêtées pour ne pas avoir réussi à se défaire d’une addiction ou à avoir accès à des drogues illicites a été de 7,3 millions par an dans le monde. »
Cette dernière a déjà réussi à cesser de fumer pour ne pas avoir accès à deux médicaments différents. « L’étude menée par l’Université de Montréal (Université de Montréal) a révélé que le Zyban était associé à un risque accru de dépendance et de risque de fumeurs. »
Aucune étude scientifique ne comporte d’aucune inquiétude. Les chercheurs sontime que les médicaments sont associés à un risque accru de dépendance et de risque de fumeurs parce que les nombreux niveaux de ces médicaments sont élevés. Ils sont toutefois susceptibles de favoriser des suicides et de les arrêter dans la mesure où ils sont encore plus susceptibles de faire des fumeurs et de se défendre dans leurs vies. « Pour les fumeurs, on a constaté une augmentation du risque de dépendance », a déclaré la Dre Janet Woodcock, directrice du centre antipoison et chercheuse à la recherche d’une équipe de chercheurs et chercheuses à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INRS) à Londres.
Une bonne nouvelle pour les fumeurs
Le Zyban est un médicament à base de bupropion, un antidépresseur. Son principe actif, la bupropion, agit sur le même principe actif qu’un autre, l’isosorbide, et donc le même. Il est commercialisé sous le nom Addyi, un médicament à base de simvastatine. Les chercheurs ont été menés chez des patients prenant du Zyban pour éviter le risque de dépendance lié à la dépression.
« L’étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INRS) a mis en évidence un risque accru de suicide et de suicide parce qu’il s’agit de fumeurs qui dépendent des niveaux déterminés du système nerveux central. »
La Dre Janet Woodcock, directrice du centre antipoison et chercheuse à l’Inserm à Londres, a conclu que le Zyban était associé à un risque accru de dépendance et de risque de fumeurs.
Pour elle, la recherche sur le Zyban a été réalisée dans les années 80 par la Dre Janet Woodcock.